Les rennes sont attachés, les cadeaux en préparation, les cheminés ramonées, les petits bonhommes Pillsbury au four…
Et oui, il y a comme une odeur de fête qui plane dans le milieu de la publicité. J’adore cette période et toutes ces pubs de jouets (pour moi ça sera des Legos). Mais voilà, ne satisfaire que les enfants, ce n’est pas assez : c’est quand même papa et maman qui doivent sortir les gros billets de la poche. Et c’est là que ça commence à se gâter. Chacun y vas de ces promotions et
«le cadeau à ouvrir» sous peine de décevoir sa blonde, son chum, les beaux parents (eux on peut les décevoir) etc…
Qui dit promotion, dit publicité rasoir. Sans oublier les boîtes aux lettres qui croulent sous les dépliants de tous genres (si ce n’est pas encore arrivé, ne vous inquiétez pas, cela ne va pas tarder).
D’un côté, on fait des petits heureux, de l’autre, on hypothèque la maison. Cela fait une bonne vache à lait pour les publicitaires. Mais ils pourraient quand même faire un effort et faire preuve d’un peu d’imagination…
Et oui, il y a comme une odeur de fête qui plane dans le milieu de la publicité. J’adore cette période et toutes ces pubs de jouets (pour moi ça sera des Legos). Mais voilà, ne satisfaire que les enfants, ce n’est pas assez : c’est quand même papa et maman qui doivent sortir les gros billets de la poche. Et c’est là que ça commence à se gâter. Chacun y vas de ces promotions et
«le cadeau à ouvrir» sous peine de décevoir sa blonde, son chum, les beaux parents (eux on peut les décevoir) etc…
Qui dit promotion, dit publicité rasoir. Sans oublier les boîtes aux lettres qui croulent sous les dépliants de tous genres (si ce n’est pas encore arrivé, ne vous inquiétez pas, cela ne va pas tarder).
D’un côté, on fait des petits heureux, de l’autre, on hypothèque la maison. Cela fait une bonne vache à lait pour les publicitaires. Mais ils pourraient quand même faire un effort et faire preuve d’un peu d’imagination…
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