Un texte de Sarah Bernard (Magazine de la rédaction profesionnelle).
Avis aux Rédacteurs Publicitaire
Labatt Bleue, Mc Do, Bell, derriere toute pub radio se cachent des rédacteurs, mais surtout des penseurs d'images et de sons...
Un texte de Sarah Bernard (Magazine de la rédaction profesionnelle).
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Un module de chat dans l 'INFOPUB
LOIC LE MEUR grand blogger fou nous fait part de sa nouvelle trouvaille. Je n'ai pas pu m'empêcher d'en faire de même tout de suite. Vous pouvez avoir une page personnalisée comme celle-ci (jeanju.chatango.com) en deux minutes et rajouter une zone de chat et un bouton signalant votre présence en ligne sur votre blog. Le tout est géré entièrement dans le navigateur web.
J'adore aussi, je suis persuadé que ce gadget va se répandre à une vitesse incroyable sur les blogs...MERCI LOIC (www.loiclemeur.com)
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Une campagne qui a du boeuf
Et apres on parle de vache folle, je comprends mieux...
Site Web
http://www.eatmorchikin.com/
Sondage d'efficacité publicitaire :
http://www.rateitall.com/i-48583-eat-mor-chikin-cows-chik-fil-a.aspx
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Le blog IPUB.CA.CX vous souhaite la Bienvenue
Chères lectrices et lecteurs et blogger,
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Le blog IPUB.CA.CX c'est encore plus !
En vous inscrivant, vous rejoignez une communauté de passionnés, vous échangez des infos, des bons plans, vos expériences de marque et de publicité . Prenez le contrôle des marques, faites de votre message, le relais indispensable pour l'annonceur et l'agence de pub.
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Enfin, régulièrement, IPUB.CA.CX vous offre des primeurs et la possibilité de télécharger des vidéos de pub, des documents PDF sur le marketing et la publicité.
IPUB.CA.CX n'appartient à aucune compagnie de marketing ou de publicité, c'est un blog INDÉPENDANT qui agit comme porte voix des consommateurs citoyens. IPUB.CA.CX n'est pas de l'anti-pub mais bien davantage une lieu de rapprochement et un discours humain sur la publicité.
Au plaisir de vous lire très bientôt,
bloggerement votre,
Jean julien Guyot
Fondateur du blog publicitaire: IPUB.CA.CX
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Rien de tel qu'un A pour débuter la session
Chaque mois, je mets à votre disposition des pubs vidéos à télécharger. Pour débuter le A comme : Apple, Adidas, Axe,...
Allez-y c'est CADEAU !!! (65 Meg)
Les fichiers seront ensuite disponible sur demande : blog@jean-julien.com
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Quand on dit que le .. fait vendre !
la cie http://www.ass-vertise.com/ utilise une technique semble t il efficace pour attirer l'attention des badauds
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Vos reactions ...
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Au fait un blog c'est quoi ?
L'Office de la langue française définit blogue comme étant : «Page Web évolutive et non conformiste présentant des informations de toutes sortes, généralement sous forme de courts messages mis à jour régulièrement, et dont le contenu et la forme, très libres, restent à l'entière discrétion des auteurs.»
Pourquoi lire des blogs (SOURCE Site Emarketer)
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L'impact publicitaire du blog...
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Pourquoi lire des blogs (SOURCE Site Emarketer)
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Brand Slam-the ultimate hit in the game of marketing
Pour ceux et celles qui ont la chance de lire l'anglais et bien je vous suggère ce livre. On a des études de cas. Des erreurs de gestionnaires qui ont retirer des campagnes qui fonctionnaient bien. Comme le dit si bien l'expression ''If it's not broke - don't fix it!'' Si ce n'est pas briser, on n'a pas besoin de le réparer!
Des gestions de crises. Ceux qui ce cachent et ceux qui avouent leur tort.
Ils auraient pu ajouter la gestion de Perrier quand ils avaient retirer les bouteilles des étagères du monde entier.
On a des explications des concepteurs/gestionnaires, ce qu'ils avaient dans la tête lors des exécutions de ceux-ci!
Pour vous échoeurer un peu... J'ai eu la chance de l'avoir pour 2$ sur leur table de débarras. Il était endommager sur le couvert!
Un bon livre facile à lire au maniaque d'images de marque (branding)!
L'ére du PLUS
Ce matin je me disais que l'on est dans une societe du TOUJOURS PLUS. Les slogans de grandes chaines de produits électroniques nous mitraillent de :
- encore plus
- toujours plus
- plus que...
- plus plus plus...
A coté de cela les grandes compagnies de telco se battent à coup de SIMPLICITÉ
- Bell et bien simple
- Telus le futur est simple
bref nous vivons dans une société ou il est bon d'en avoir plus et plus simplement aussi. VOS COMMENTAIRES VOTRE POINT DE VUE
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A coté de cela les grandes compagnies de telco se battent à coup de SIMPLICITÉ
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La marque de commerce... par Natalie Gauthier
La marque de commerce : un actif précieux pour l’entreprise
Me sachant étudiante au Certificat en droit, les gens me demandent souvent l’intérêt de la marque de commerce, en dehors de son côté créatif. Pour tout créatif amoureux de la publicité, il faut comprendre que ces subtilités vont bien au-delà de la simple bureaucratie. La marque de commerce est un droit de propriété et les nombreux litiges devant la Cour fédérale du Canada, ainsi que les tribunaux de droit commun des provinces confirment qu’elle constitue un actif intellectuel qu’il convient de protéger et de défendre.
Dans l’arrêt Pink Panther Beauty Corp. c. United Artists Corp., (1998) 3 C.F. 534, 546 (C.A.), désistement du pourvoi à la Cour suprême du Canada produit le 21 juin 1999, la Cour d’appel a souligné que « les marques de commerce sont protégées par une législation et l'action en imitation frauduleuse a été codifiée à l'alinéa 7c) de la Loi. Toutefois, l'étendue de la protection qu'offre la Loi est plus importante que celle qu'accordait l'ancienne common law. Premièrement, le demandeur, dans une procédure en contrefaçon (ou l'opposant, dans une procédure d'opposition), n'a pas à démontrer que les biens ou les services sont mis en marché dans la même région, comme l'exigeait l'ancienne common law. La marque déposée est valide partout au Canada et elle permet à son propriétaire de jouir du droit exclusif de l'employer en liaison avec des marchandises ou des services déterminés, et ce, dans tout le pays. De même, pour avoir gain de cause, il n'est plus nécessaire de prouver des dommages ni l'existence d'une tentative de tromperie ».
Tout d’abord, définissons le concept de marque de commerce, tel que défini par l’OPIC (Office de la propriété intellectuelle du Canada, organisme de service spécial (OSS) au sein d’Industrie Canada, est le principal responsable de l'administration et le traitement des demandes de propriété intellectuelle de ceux-ci), qui sert à distinguer les produits ou les services d'une personne ou d'un organisme d'autres produits ou services offerts sur le marché . Une marque de commerce enregistrée a été approuvée et inscrite au Registre des marques de commerce tenu par le Bureau des marques de commerce. L'enregistrement est le titre de propriété. Une marque de commerce non enregistrée peut aussi être reconnue par le droit coutumier comme étant la possession de son propriétaire, selon les circonstances. Cependant, il est plus difficile de faire reconnaître son droit de propriété devant les tribunaux. L’intérêt pour une compagnie d’enregistrer sa marque de commerce est que l'enregistrement est une preuve irréfutable (présomption légale) de propriété exclusive dans l'ensemble du Canada et aide son propriétaire à écarter les contrefacteurs éventuels. Il permet au propriétaire de protéger plus facilement ses droits en cas de contestation puisqu'il incombe au contrefacteur de prouver ses droits dans tout litige. Le processus d'enregistrement, grâce aux vérifications approfondies qu'il comporte en vue de dépister les marques de commerce en situation conflictuelle, permet au requérant de revendiquer une marque unique et d'éviter de violer les droits de tiers. Par contre, le fait d’enregistrer une marque de commerce ne décharge pas le propriétaire de la responsabilité de veiller à ses droits. Il doit s’assurer que personne d’autre n’utilise cette marque. L’OPIC n’a pas pour vocation de protéger les propriétaires contre l’utilisation illégale de leur marque par d’autres personnes. Aussi, le fait de négliger ses droits de propriétaire peut entraîner de graves conséquences et diminuer les chances de faire respecter son droit exclusif.
Des particuliers, des sociétés, des syndicats ou des associations légales peuvent enregistrer leur marque de commerce, pourvu que ceux-ci répondent aux exigences de la Loi sur les marques de commerce, L.R.C. 1985, ch. T-13. Cet enregistrement est valide pour une durée de 15 ans et est par la suite renouvelable tous les 15 ans moyennant le paiement des droits exigibles. Pour enregistrer sa marque de commerce, le demandeur doit produire une demande auprès du Bureau des marques de commerce à Gatineau (Québec). La demande subit un examen rigoureux pour s'assurer qu'elle réponde aux exigences de la Loi sur les marques de commerce, L.R.C. 1985, ch. T-13.
L'enregistrement d'une marque de commerce comporte les étapes suivantes : (1) recherche préliminaire des marques de commerce existantes, (2) une demande d'enregistrement, (3) l’examen de la demande effectué par le Bureau des marques de commerce, (4) la publication de la demande dans le Journal des marques de commerce, (5) le délai accordé au public pour produire une déclaration d'opposition à la demande (contestation), (6) l'admission et l'enregistrement (en l’absence d'opposition).
Veuillez toutefois noter que l’enregistrement fait au Canada ne protége pas les droits du propriétaire dans les autres pays. En attendant que le Canada adhère au Protocole de Madrid permettant au propriétaire de protéger sa marque dans plusieurs pays comme si elle avait été déposée directement dans chacun des pays spécifiés dans la demande de dépôt, le propriétaire de la marque doit déposer une demande d'enregistrement dans chacun des pays dans lesquels elle revendique la protection accordée aux marques. Avant de déposer de telles demandes à l’étranger, la recherche doit être effectuée dans chacun des pays concernés pour s’assurer que la marque en question est disponible et qu’une marque similaire n’est pas utilisée pour des produits ou des services similaires.
Certaines multinationales effectuent une série de recherches nationales avant de lancer un produit à l’échelle internationale. Que vous décidiez de limiter votre publicité à l’échelle nationale, la marque de commerce étant un droit de propriété, assurez vous d’éviter d’attirer l’attention du public d’une façon qui puisse causer une certaine confusion avec une autre entreprise, nationale ou internationale. Cette dernière aura derrière elle plus d’un an de démarches afin de remplir les formalités de l’Office de la propriété intellectuelle du Canada afin de protéger sa marque.
Note de l'auteur: L'information contenue dans cette chrnonique est générale et ne constitue pas un avis juridique.
posted by Natalie Gauthier | 5:01 PM
Me sachant étudiante au Certificat en droit, les gens me demandent souvent l’intérêt de la marque de commerce, en dehors de son côté créatif. Pour tout créatif amoureux de la publicité, il faut comprendre que ces subtilités vont bien au-delà de la simple bureaucratie. La marque de commerce est un droit de propriété et les nombreux litiges devant la Cour fédérale du Canada, ainsi que les tribunaux de droit commun des provinces confirment qu’elle constitue un actif intellectuel qu’il convient de protéger et de défendre.
Dans l’arrêt Pink Panther Beauty Corp. c. United Artists Corp., (1998) 3 C.F. 534, 546 (C.A.), désistement du pourvoi à la Cour suprême du Canada produit le 21 juin 1999, la Cour d’appel a souligné que « les marques de commerce sont protégées par une législation et l'action en imitation frauduleuse a été codifiée à l'alinéa 7c) de la Loi. Toutefois, l'étendue de la protection qu'offre la Loi est plus importante que celle qu'accordait l'ancienne common law. Premièrement, le demandeur, dans une procédure en contrefaçon (ou l'opposant, dans une procédure d'opposition), n'a pas à démontrer que les biens ou les services sont mis en marché dans la même région, comme l'exigeait l'ancienne common law. La marque déposée est valide partout au Canada et elle permet à son propriétaire de jouir du droit exclusif de l'employer en liaison avec des marchandises ou des services déterminés, et ce, dans tout le pays. De même, pour avoir gain de cause, il n'est plus nécessaire de prouver des dommages ni l'existence d'une tentative de tromperie ».
Tout d’abord, définissons le concept de marque de commerce, tel que défini par l’OPIC (Office de la propriété intellectuelle du Canada, organisme de service spécial (OSS) au sein d’Industrie Canada, est le principal responsable de l'administration et le traitement des demandes de propriété intellectuelle de ceux-ci), qui sert à distinguer les produits ou les services d'une personne ou d'un organisme d'autres produits ou services offerts sur le marché . Une marque de commerce enregistrée a été approuvée et inscrite au Registre des marques de commerce tenu par le Bureau des marques de commerce. L'enregistrement est le titre de propriété. Une marque de commerce non enregistrée peut aussi être reconnue par le droit coutumier comme étant la possession de son propriétaire, selon les circonstances. Cependant, il est plus difficile de faire reconnaître son droit de propriété devant les tribunaux. L’intérêt pour une compagnie d’enregistrer sa marque de commerce est que l'enregistrement est une preuve irréfutable (présomption légale) de propriété exclusive dans l'ensemble du Canada et aide son propriétaire à écarter les contrefacteurs éventuels. Il permet au propriétaire de protéger plus facilement ses droits en cas de contestation puisqu'il incombe au contrefacteur de prouver ses droits dans tout litige. Le processus d'enregistrement, grâce aux vérifications approfondies qu'il comporte en vue de dépister les marques de commerce en situation conflictuelle, permet au requérant de revendiquer une marque unique et d'éviter de violer les droits de tiers. Par contre, le fait d’enregistrer une marque de commerce ne décharge pas le propriétaire de la responsabilité de veiller à ses droits. Il doit s’assurer que personne d’autre n’utilise cette marque. L’OPIC n’a pas pour vocation de protéger les propriétaires contre l’utilisation illégale de leur marque par d’autres personnes. Aussi, le fait de négliger ses droits de propriétaire peut entraîner de graves conséquences et diminuer les chances de faire respecter son droit exclusif.
Des particuliers, des sociétés, des syndicats ou des associations légales peuvent enregistrer leur marque de commerce, pourvu que ceux-ci répondent aux exigences de la Loi sur les marques de commerce, L.R.C. 1985, ch. T-13. Cet enregistrement est valide pour une durée de 15 ans et est par la suite renouvelable tous les 15 ans moyennant le paiement des droits exigibles. Pour enregistrer sa marque de commerce, le demandeur doit produire une demande auprès du Bureau des marques de commerce à Gatineau (Québec). La demande subit un examen rigoureux pour s'assurer qu'elle réponde aux exigences de la Loi sur les marques de commerce, L.R.C. 1985, ch. T-13.
L'enregistrement d'une marque de commerce comporte les étapes suivantes : (1) recherche préliminaire des marques de commerce existantes, (2) une demande d'enregistrement, (3) l’examen de la demande effectué par le Bureau des marques de commerce, (4) la publication de la demande dans le Journal des marques de commerce, (5) le délai accordé au public pour produire une déclaration d'opposition à la demande (contestation), (6) l'admission et l'enregistrement (en l’absence d'opposition).
Veuillez toutefois noter que l’enregistrement fait au Canada ne protége pas les droits du propriétaire dans les autres pays. En attendant que le Canada adhère au Protocole de Madrid permettant au propriétaire de protéger sa marque dans plusieurs pays comme si elle avait été déposée directement dans chacun des pays spécifiés dans la demande de dépôt, le propriétaire de la marque doit déposer une demande d'enregistrement dans chacun des pays dans lesquels elle revendique la protection accordée aux marques. Avant de déposer de telles demandes à l’étranger, la recherche doit être effectuée dans chacun des pays concernés pour s’assurer que la marque en question est disponible et qu’une marque similaire n’est pas utilisée pour des produits ou des services similaires.
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posted by Natalie Gauthier | 5:01 PM
Des bonnes pub anti-Tabac
Amis fumeurs ou non le message ne peut pas etre plus clair...
une petite pof...pour attendre que le cercle orange du preloader disparaisse et vous voila face à la vérité !
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Le Parti québécois a imaginé une publicité très "spéciale" pour les jeunes à 13h02, le 11 avril 2003.
SHERBROOKE (PC) - Dans un bar, le soir, un jeune péquiste vous aborde et vous remet un condom. "Le 14 avril, passons à l'acte. Restons forts", mentionne le dépliant publicitaire sur lequel est agrafé le préservatif. Cette campagne publicitaire nouveau genre a été imaginée par le Comité national des jeunes du Parti québécois. Quelque 30 000 dépliants avec condom ont ainsi été distribués pendant la campagne électorale par les jeunes péquistes. "La distribution ne s'est faite que dans les bars", a expliqué Nicolas Girard, un porte-parole du Parti québécois. Cette publicité choc "visait à provoquer une discussion autour de la politique et des enjeux de la campagne électorale".
Les clients du bar qui reçoivent le dépliant muni d'un condom sont interloqués, puis, trois fois sur quatre, la conversation s'enchaîne sur certains thèmes de la campagne électorale que veut mousser le Parti québécois: conciliation famille-travail, promotion de la vie familiale, etc. "En plus, cela rejoint nos objectifs de prévention en matière de santé, notamment la lutte contre les maladies transmises sexuellement", a expliqué Nicolas Girard.
Les militants du Comité national des jeunes du Parti québécois ont constaté que la distribution de ce dépliant publicitaire et du condom qui l'accompagne a suscité d'extraordinaires débats politiques dans des bars, qui ne sont pas toujours des lieux idéaux pour aborder les questions politiques.
Le condom n'est certes pas le meilleur outil pour inciter les Québécois à avoir plus d'enfants, comme le souhaite la politique péquiste. Il y a en effet un grave problème démographique dans une société où l'indice de fécondité, c'est-à-dire le taux moyen d'enfant par femme en âge de procréer, n'est que de 1,4. Mais le programme du Parti québécois, a soutenu Nicolas Girard, contient plusieurs autres mesures pour favoriser les couples, comme le remboursement de la moitié du prêt étudiant lorsque l'étudiant a un enfant dans les cinq ans qui suivent l'obtention de son diplôme, les garderies à 5 $ par jour, la semaine de travail de quatre jours et une troisième semaine annuelle de vacances pour tous.
Personne au Parti québécois n'avait toutefois des détails sur le taux d'utilisation des 30 000 condoms distribués pendant la campagne électorale.
Les clients du bar qui reçoivent le dépliant muni d'un condom sont interloqués, puis, trois fois sur quatre, la conversation s'enchaîne sur certains thèmes de la campagne électorale que veut mousser le Parti québécois: conciliation famille-travail, promotion de la vie familiale, etc. "En plus, cela rejoint nos objectifs de prévention en matière de santé, notamment la lutte contre les maladies transmises sexuellement", a expliqué Nicolas Girard.
Les militants du Comité national des jeunes du Parti québécois ont constaté que la distribution de ce dépliant publicitaire et du condom qui l'accompagne a suscité d'extraordinaires débats politiques dans des bars, qui ne sont pas toujours des lieux idéaux pour aborder les questions politiques.
Le condom n'est certes pas le meilleur outil pour inciter les Québécois à avoir plus d'enfants, comme le souhaite la politique péquiste. Il y a en effet un grave problème démographique dans une société où l'indice de fécondité, c'est-à-dire le taux moyen d'enfant par femme en âge de procréer, n'est que de 1,4. Mais le programme du Parti québécois, a soutenu Nicolas Girard, contient plusieurs autres mesures pour favoriser les couples, comme le remboursement de la moitié du prêt étudiant lorsque l'étudiant a un enfant dans les cinq ans qui suivent l'obtention de son diplôme, les garderies à 5 $ par jour, la semaine de travail de quatre jours et une troisième semaine annuelle de vacances pour tous.
Personne au Parti québécois n'avait toutefois des détails sur le taux d'utilisation des 30 000 condoms distribués pendant la campagne électorale.
Commander une Pizza en 2015
Alors cher(e) lecteurs (trices) voici une blague... mais qui pourrait bien nous arriver dans un futur très rapprocher (alors ça ne sera plus drôle!) ... à moins d'aller dans un pays sous-développer...
Des saisies d'information qui peut-être un peu comme le film Gattaca en 1997, le rêve de toute personne en marketing entre autres!
Donc on Commande une Pizza en 2015
Standardiste : "Pizza Hut, bonjour."
Client : "Bonjour, je souhaite passer une commande."
Standardiste : "Puis-je avoir votre NIDN, monsieur ?"
Client : "Mon numéro d'identification nationale (National ID Number), voilà, c'est le 6102049998-45-54610."
Standardiste : "Merci Mr. Sheehan. Donc, votre adresse est bien le 1742 Meadowland Drive, et votre numéro de téléphone le 494-2366. Votre numéro de téléphone professionnel chez Lincoln Insurance est le 745-2302 et votre numéro de téléphone mobile le 266-2566. De quel numéro appelez-vous ?"
Client : "Euh ? Je suis à la maison. D'oû sortez-vous toutes ces informations ?"
Standardiste : "Nous sommes branchés sur le système monsieur."
Client : (Soupir) "Ah bon ! Je voudrais deux de vos pizzas spéciales � la viande..."
Standardiste : "Je ne pense pas que ce soit une bonne idée monsieur."
Client : "Comment ça ?"
Standardiste : "Selon votre dossier médical, vous souffrez d'hypertension et d'un niveau de cholestérol très élevé. Votre assurance maladie vous interdit un choix aussi dangereux pour votre santé."
Client : "Aîe ! Qu'est-ce que vous me proposez alors ?"
Standardiste : "Vous pouvez essayer notre Pizza allégée au yaourt de soja. Je suis sûre que vous l'adorerez."
Client : "Qu'est-ce qui vous fait croire que je vais aimer cette pizza ?"
Standardiste : "Vous avez consulté les 'Recettes gourmandes au soja' � votre bibliothèque locale la semaine dernière monsieur. D'oû ma suggestion."
Client : "Bon d'accord. Donnez-m'en deux, format familial. Je vous dois ?"
Standardiste : "Ca devrait faire l'affaire pour vous, votre épouse et vos quatre enfants monsieur. Vous nous devez 49,99 $."
Client : "Je vous donne mon numéro de carte de crédit."
Standardiste : "Je suis désolée monsieur, mais je crains que vous ne soyez obligé de payer en liquide. Votre solde de carte de crédit dépasse la limite".
Client : "J'irai chercher du liquide au distributeur avant que le Livreur n'arrive."
Standardiste : "Ca ne marchera pas non plus monsieur. Votre compte en banque est à découvert."
Client : "Ce n'est pas vos oignons. Contentez-vous de m'envoyer les pizzas. J'aurai le liquide. Combien de temps ça va prendre ?"
Standardiste : "Nous avons un peu de retard monsieur. Elles seront chez vous dans environ 45 minutes. Si vous êtes pressé, vous pouvez venir les chercher après être avoir retiré du liquide, mais transporter des pizzas en moto est pour le moins acrobatique."
Client : "Comment diable pouvez-vous savoir que j'ai une moto ?"
Standardiste : "Je vois ici que vous n'avez pas honoré les échéances de votre voiture et qu'elle a été saisie. Mais votre Harley est payée, donc j'ai simplement présumé que vous l'utiliseriez."
Client : "@#%/$@&?#!"
Standardiste : "Je vous conseille de rester poli monsieur. Vous avez déjà été condamné en juillet 2006 pour outrage à un agent."
Client : (Sans voix)
Standardiste : "Autre chose monsieur ?"
Client : "Non, rien. Ah si, n'oubliez pas les deux litres de Coca gratuit avec les pizzas, conformément à votre pub."
Standardiste : "Je suis désolée monsieur, mais une clause d'exclusion de notre publicité nous interdit de proposer des sodas gratuits à des diabétiques."
Des saisies d'information qui peut-être un peu comme le film Gattaca en 1997, le rêve de toute personne en marketing entre autres!
Donc on Commande une Pizza en 2015
Standardiste : "Pizza Hut, bonjour."
Client : "Bonjour, je souhaite passer une commande."
Standardiste : "Puis-je avoir votre NIDN, monsieur ?"
Client : "Mon numéro d'identification nationale (National ID Number), voilà, c'est le 6102049998-45-54610."
Standardiste : "Merci Mr. Sheehan. Donc, votre adresse est bien le 1742 Meadowland Drive, et votre numéro de téléphone le 494-2366. Votre numéro de téléphone professionnel chez Lincoln Insurance est le 745-2302 et votre numéro de téléphone mobile le 266-2566. De quel numéro appelez-vous ?"
Client : "Euh ? Je suis à la maison. D'oû sortez-vous toutes ces informations ?"
Standardiste : "Nous sommes branchés sur le système monsieur."
Client : (Soupir) "Ah bon ! Je voudrais deux de vos pizzas spéciales � la viande..."
Standardiste : "Je ne pense pas que ce soit une bonne idée monsieur."
Client : "Comment ça ?"
Standardiste : "Selon votre dossier médical, vous souffrez d'hypertension et d'un niveau de cholestérol très élevé. Votre assurance maladie vous interdit un choix aussi dangereux pour votre santé."
Client : "Aîe ! Qu'est-ce que vous me proposez alors ?"
Standardiste : "Vous pouvez essayer notre Pizza allégée au yaourt de soja. Je suis sûre que vous l'adorerez."
Client : "Qu'est-ce qui vous fait croire que je vais aimer cette pizza ?"
Standardiste : "Vous avez consulté les 'Recettes gourmandes au soja' � votre bibliothèque locale la semaine dernière monsieur. D'oû ma suggestion."
Client : "Bon d'accord. Donnez-m'en deux, format familial. Je vous dois ?"
Standardiste : "Ca devrait faire l'affaire pour vous, votre épouse et vos quatre enfants monsieur. Vous nous devez 49,99 $."
Client : "Je vous donne mon numéro de carte de crédit."
Standardiste : "Je suis désolée monsieur, mais je crains que vous ne soyez obligé de payer en liquide. Votre solde de carte de crédit dépasse la limite".
Client : "J'irai chercher du liquide au distributeur avant que le Livreur n'arrive."
Standardiste : "Ca ne marchera pas non plus monsieur. Votre compte en banque est à découvert."
Client : "Ce n'est pas vos oignons. Contentez-vous de m'envoyer les pizzas. J'aurai le liquide. Combien de temps ça va prendre ?"
Standardiste : "Nous avons un peu de retard monsieur. Elles seront chez vous dans environ 45 minutes. Si vous êtes pressé, vous pouvez venir les chercher après être avoir retiré du liquide, mais transporter des pizzas en moto est pour le moins acrobatique."
Client : "Comment diable pouvez-vous savoir que j'ai une moto ?"
Standardiste : "Je vois ici que vous n'avez pas honoré les échéances de votre voiture et qu'elle a été saisie. Mais votre Harley est payée, donc j'ai simplement présumé que vous l'utiliseriez."
Client : "@#%/$@&?#!"
Standardiste : "Je vous conseille de rester poli monsieur. Vous avez déjà été condamné en juillet 2006 pour outrage à un agent."
Client : (Sans voix)
Standardiste : "Autre chose monsieur ?"
Client : "Non, rien. Ah si, n'oubliez pas les deux litres de Coca gratuit avec les pizzas, conformément à votre pub."
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