2005, une nouvelle année. Toujours 12 mois, la journée de 30 heures n’est pas pour demain, mon toast tombe encore du côté beurré et la publicité continue… youpi.
Avez-vous remarqué la publicité ? Avant toute campagne publicitaire, on sonde par des sondages, on analyse avec des tonnes de chiffres compilés années après années, on recherche tout ce qui permettra de mieux connaître le consommateur. En fin de compte, les publicitaires cherchent ce qui créera la notoriété chez les consommateurs (ou essaye en tout cas). On veut nous surprendre en testant la pub au préalable. D’autre cherche à innover en restant des suiveurs. Les annonceurs veulent faire de la pub pour se faire connaître et ils font tout pour rester inconnu.
Jean-Jacques Stréliski disait : « La publicité c’est comme quelqu’un qui s’invite à ta table au restaurant » et moi je rajouterais : « qu’il s invite, je veux bien, mais au moins qu’il soit intéressant.»
Avez-vous remarqué la publicité ? Avant toute campagne publicitaire, on sonde par des sondages, on analyse avec des tonnes de chiffres compilés années après années, on recherche tout ce qui permettra de mieux connaître le consommateur. En fin de compte, les publicitaires cherchent ce qui créera la notoriété chez les consommateurs (ou essaye en tout cas). On veut nous surprendre en testant la pub au préalable. D’autre cherche à innover en restant des suiveurs. Les annonceurs veulent faire de la pub pour se faire connaître et ils font tout pour rester inconnu.
La pub est aseptisé.
Il ne faut pas choquer, on peut émouvoir mais pas trop, un peu de romantisme mais pas trop (le sexuel vend mieux), pas de vulgarité (merde alors), on peut faire rire mais pas trop (c’est Toto…), pas de risque inconsidéré, pas rendre triste, pas de, pas de, pas... Je vais finir par avoir plus d’émotion en regardant une mouche voler. Ce qui est banal reste banal et oublié. Personnellement je me rappelle des plus belles filles ainsi que des plus moches (et vous ? Valable dans l’autre sens). La publicité doit être neutre et juste annoncer le produit. Pire que ça. Va fallloir qu’on m’explique une chose. Faire de la publicité demande une budget assez important dont les 3/4 de cet argent passent principalement dans la production et le placement. Alors pourquoi certains s’obstinent encore à diffuser à outrance ? Si on jouait sur la qualité au lieu de la quantité, les économies seraient considérable.
Jean-Jacques Stréliski disait : « La publicité c’est comme quelqu’un qui s’invite à ta table au restaurant » et moi je rajouterais : « qu’il s invite, je veux bien, mais au moins qu’il soit intéressant.»
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