Marie Christine-Valois
Si demain les étudiants de Concordia déclaraient la grève générale illimitée, il n’y aurait pas que les professeurs et le gouvernement qui se rongeraient les ongles jusqu’aux cuticules. La quinzaine de restaurateurs et propriétaires de cafés, dont les profits vont au gré des sacoches étudiantes, subiraient un choc digne de la Grande Dépression. C’est les yeux ronds et le souffle pratiquement coupé que Yahya, propriétaire du Second cup sur McKay, répond à l’éventualité d’une grève de plus de trois mois : « Si ça arrive, on ferme. »
Les étudiants de l’Université Concordia représentent la majorité de la clientèle des commerces qui l’entourent. Pour s’en convaincre, il suffit de passer devant le Nouilles Express sur Maisonneuve à l’heure des repas. Les étudiants remplissent l’endroit. Cordés par dizaines sur des chaises de plastique, ils se vautrent le visage dans de gargantuesques plats de nouilles orientales.
Le sourire au visage et les yeux pétillants, Yahya, propriétaire du Second Cup depuis trois ans, dit qu’au moins 80 % de sa clientèle est étudiante. « Le café est ouvert 24 heures sur 24. Il y a des étudiants qui restent pour étudier toute la nuit. Et quand un arrive, d’autres viennent le rejoindre. Ce sont de bons clients. »
En ce début de semestre, LA SUITE ICI
Si demain les étudiants de Concordia déclaraient la grève générale illimitée, il n’y aurait pas que les professeurs et le gouvernement qui se rongeraient les ongles jusqu’aux cuticules. La quinzaine de restaurateurs et propriétaires de cafés, dont les profits vont au gré des sacoches étudiantes, subiraient un choc digne de la Grande Dépression. C’est les yeux ronds et le souffle pratiquement coupé que Yahya, propriétaire du Second cup sur McKay, répond à l’éventualité d’une grève de plus de trois mois : « Si ça arrive, on ferme. »
Les étudiants de l’Université Concordia représentent la majorité de la clientèle des commerces qui l’entourent. Pour s’en convaincre, il suffit de passer devant le Nouilles Express sur Maisonneuve à l’heure des repas. Les étudiants remplissent l’endroit. Cordés par dizaines sur des chaises de plastique, ils se vautrent le visage dans de gargantuesques plats de nouilles orientales.
Le sourire au visage et les yeux pétillants, Yahya, propriétaire du Second Cup depuis trois ans, dit qu’au moins 80 % de sa clientèle est étudiante. « Le café est ouvert 24 heures sur 24. Il y a des étudiants qui restent pour étudier toute la nuit. Et quand un arrive, d’autres viennent le rejoindre. Ce sont de bons clients. »
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1 commentaire:
Excellent mais quand est ce qu ils parlent du blog dans le concordia francais ?
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