Arrive à 17h00, donne un coup de main à l'affichage des partenaires (qu'on salut au passage), scrute les lieux et... la musique débute. Chacun part à la recherche de son valentin. Les créatifs dans leurs boxes, les participants qui ouvrent leurs portfolio. Premier constat : pas un participant n'a une bière à la main. Au fil des heures, la convivialité prend le dessus. Je vous passe le blabla du style c'était bien (de toute façon c'était une très bonne soirée). Deuxième constat : que des créatifs invités de type masculin (ou presque). Ça laisse songeur... non ? La petite aiguille continue son voyage et moi je suis en plein "savourage" des tomates-cerises farcies et compagnie. Maintenant que ma bouche est comblée, je vais plus près, histoire de prendre quelques opinions. Dans le coin gauche et pesant plusieurs années d'expériences, un des feedbacks était : des portfolios tous bons ou très mauvais. Ainsi, ça laisse pas de place au doute. - Début de parenthèse - En écrivant ces quelques lignes, une question passe entre mes deux oreilles : est-ce que c'est un manque de respect envers un junior ou l'aider si un vieux routier lui dit : «Vous n'avez pas pensé faire autre chose dans la vie ?». - Fin de parenthèse - Dans le coin droit, les challengers et un des echos était : certains aimaient, d'autres détestaient. Cela m'amène à me poser une question : «Et si on pouvait choisir notre interlocuteur ?» Impossible ? J'en doute. Cela pourrait commencer avec la célèbre recette du «premier à s'inscrire, premier à être servi». Évidemment, des quotas devront être fixés. Ensuite, la bio des créas pourrait être complétées par trois ou quatre exécutions. C'est vrai que le hasard fait bien des miracles mais l'un n'empêche pas l'autre. À 22h00 et des poussières (j'avais mieux à faire que regarder ma montre), des couples étaient encore actifs. Je ne sais pas s'il y a eu des mariages mais en tout cas, une soirée avec autant de têtes de série, à l'écoute de futurs joueurs et joueuses, ça mérite d'être applaudi. Clap ! Clap ! Clap !LE MOT DIT NORBERT : soirée des portfolios
Arrive à 17h00, donne un coup de main à l'affichage des partenaires (qu'on salut au passage), scrute les lieux et... la musique débute. Chacun part à la recherche de son valentin. Les créatifs dans leurs boxes, les participants qui ouvrent leurs portfolio. Premier constat : pas un participant n'a une bière à la main. Au fil des heures, la convivialité prend le dessus. Je vous passe le blabla du style c'était bien (de toute façon c'était une très bonne soirée). Deuxième constat : que des créatifs invités de type masculin (ou presque). Ça laisse songeur... non ? La petite aiguille continue son voyage et moi je suis en plein "savourage" des tomates-cerises farcies et compagnie. Maintenant que ma bouche est comblée, je vais plus près, histoire de prendre quelques opinions. Dans le coin gauche et pesant plusieurs années d'expériences, un des feedbacks était : des portfolios tous bons ou très mauvais. Ainsi, ça laisse pas de place au doute. - Début de parenthèse - En écrivant ces quelques lignes, une question passe entre mes deux oreilles : est-ce que c'est un manque de respect envers un junior ou l'aider si un vieux routier lui dit : «Vous n'avez pas pensé faire autre chose dans la vie ?». - Fin de parenthèse - Dans le coin droit, les challengers et un des echos était : certains aimaient, d'autres détestaient. Cela m'amène à me poser une question : «Et si on pouvait choisir notre interlocuteur ?» Impossible ? J'en doute. Cela pourrait commencer avec la célèbre recette du «premier à s'inscrire, premier à être servi». Évidemment, des quotas devront être fixés. Ensuite, la bio des créas pourrait être complétées par trois ou quatre exécutions. C'est vrai que le hasard fait bien des miracles mais l'un n'empêche pas l'autre. À 22h00 et des poussières (j'avais mieux à faire que regarder ma montre), des couples étaient encore actifs. Je ne sais pas s'il y a eu des mariages mais en tout cas, une soirée avec autant de têtes de série, à l'écoute de futurs joueurs et joueuses, ça mérite d'être applaudi. Clap ! Clap ! Clap !
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
3 commentaires:
Je ne sais pas si c'est un hasard dans le choix des créatifs par agence ou est-ce un domaine masculin à moins que les dames ne préfèrent la sécurité d'emploi. Il y a des postes en marketing / publicité qui sont occupés par des femmes mais en création oui elle sont là, il y en a mais c'est difficile de choisir, Serait-ce un critère de sélection l'année prochaine ? Pourquoi pas... On va faire pression pour faire 50/50
Excellente initiatif... surtout en 2005. Autant en design, la féminitée est prépondérante, autant quand on passe en création beaucoup plus publicitaire, la tendance à l'air d'aller sur une majorité masculine.
La Charte des droits et libertés interdit toute forme de discrimination. Ce n'est probablement pas un choix délibéré des agences de privilégier un homme ou une femme.
Aussi, je ne crois pas que certaines fonctions soient "faites sur mesure" pour les femmes ou pour les hommes. Sinon, comment pourrais-je expliquer un choix de carrière et un parcours dits "masculins" ?
Je crois plutôt que certaines femmes préfèrent réviser leurs priorités à une époque de leur vie.
Publier un commentaire