Merci à "Thomas Gobeille" des éditions INFOPRESSE pour cette journée riche en informations ainsi que la qualité des intervenants. Je veux souligner tout particulièrement l'intervention de Guillame Brunet de la compagnie ADVISO pour la justesse de ces propos et la véracité de ses idées. Un constat de taille ! Tous les intervenants présents ont eu une révélation ! Sur Internet ce qui compte le plus c'est de connaitre qui... : le consommateur.
WOW, serait-il judicieux de proposer des cours de marketing aux spécialistes web ? Petite nuance, le connaitre c'est aussi savoir comment il navigue. L'accent a été mis sur l'ergonomie. Le sempiternel frein sur la sécurité peut facilement être minimisé, pour ce faire il faut diminuer la virtualité du site web (adresse des bureaux, téléphone, mise à jour fréquente, paiement PAYPAL ou par facture de téléphone,.ventes sur ebay..) bref des solutions simples à implanter.
La simplicité est aussi un des messages fort de cette journée, mais attention il n y a pas de recette miracle. Selon TAKTIK , l'internaute est une personne qui est autonome, impatiente, préférant le style informel, infidéle, ingrat et rancunier...WOW ca vous intéresse toujours de travailler sur Internet ? Enfin, il s'avére que les éléments distinctifs du web ne sont pas exploités correctement, on parle ici de la force du réseau pour amplifier le message (exemple le viral), le coté relationnel dans la personnalisation de l'offre et l'interactivité (l'atout bi-directionnel du médium). LA J'EN POUVAIS PLUS ET LES BLOGS ALORS DEMANDAIS-JE ??? La seule petite réponse qui m'a été faite : "pour la promo c'est bien".UN PEU PLATE COMME RÉPONSE...
Bref je pourrais vous parler encore encore de cette superbe journée Infopresse, tellement mon bloc note est plein. Merci à Philippe Le roux de VDL2 pour son intervention à la table ronde et sa phrase tellement juste : "ne pas chercher à vendre mais plus à faire acheter". En quise de conclusion, je dirais que le constat final est qu'Internet est fort et incontournable dans vos stratégies de marque et d'entreprise. Il existe une multitude de possibilités offertes par l'outil : la clé c'est le consommateur ! Vos réactions ?
2 commentaires:
L’aspect juridique entourant le commerce électronique a été soulevé lors du Colloque qui a lieu en mars 2005, portant sur les propositions de réforme de la protection du consommateur et sur la possibilité de codifier la Loi sur la protection du consommateur. On soulignait l'importance d'avoir un meilleur encadrement juridique pour les contrats conclus par internet, notamment au niveau de l’information précontractuelle disponible sur le site internet du commerçant, de l’identité du commerçant devant être clairement définie, de l’assurance pour le consommateur de pouvoir payer que sur livraison du produit et de la protection du titulaire d’une carte de crédit en cas de fraude (achat de produits non livrés, produits défectueux).
De plus, la nature même de la relation contractuelle est à redéfinir. L'Internet nous a apporté les contrats que les juristes appellent "click-wrap". Peut-on valablement conclure une entente en "cliquant" ? La Cour supérieure de l'Ontario a répondu à cette question récemment lorsque deux individus ont voulu poursuivre Microsoft devant un tribunal Ontarien, alors que le contrat d'adhésion au Microsoft Network (MSN) qu'ils avaient "cliqué" prévoyait que tout litige devait être entendu dans l'État de Washington. Le juge réfuta les arguments soulignant qu’une des clauses était peu visible dans l'ensemble du contrat et ne figurait pas sur l'écran au moment où ils avaient cliqué en faisant une analogie directe avec un contrat intervenu sur papier et signé. Quant au fait que la clause était peu visible, il dit que même les petits caractères sur un contrat papier lient le signataire. Quant à l'absence de la clause sur l'écran, il dit que ce n'est pas parce qu'une clause ne se situe pas sur la page de signatures, du contrat papier, qu'elle est invalide. Le signataire a la responsabilité de lire toutes les pages.
En disant : «l'internaute est une personne qui est autonome, impatiente, préférant le style informel, infidéle, ingrat et rancunier...WOW», j'ai encore plus le goût de travailler sur de la publicité via le web.
La clef a toujours été le consommateur sauf qu'il parait que c'est le client (ici le client est l'annonceur) qui paye la facture. Est-ce que l'annonceur connait réellement le conso. ? Et si oui, pourquoi faire appel à des spécialistes... et si non, pourquoi ne pas écouter ces mêmes spécialistes ?
Peut-être parce que l'honnêteté (la vrai) est aussi rare à trouver que des extra-terrestres ?
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