Tous sont au courant de la triste disparition de la petite Cédrika Provencher. Bon nombre de gens se sont mobilisés pour tenter de venir en aide aux pauvres parents, complètement atterrés par un aussi effroyable événement.
Les médias sont inondés de la photo de la petite. On tente rejoindre le plus grand nombre de personnes mais surtout de la façon la plus efficace possible.
Ma question porte précisément sur la pertinence du média employé dans cette histoire. Quel est, dans une situation de crise de la sorte, le média le plus efficace?
Nous parlons d’une communication visant à conscientiser le récepteur. Le but n’est pas seulement d’informer mais de sensibiliser. L’objectif est de faire en sorte que les gens deviennent plus alertes, qu’ils diffusent l’information, etc.
Gagne-t-on, dans le cas présent, à lancer un message de masse à la population par une campagne média mettant surtout de l’avant les journaux, la télévision et l’affichage? Est-ce la bonne façon que celle de faire un maximum de bruit ou alors faut-il également inciter les gens à réfléchir à la situation pour ensuite tenter d’y poser une action?
Les médias digitaux sont également employés ici mais d’une façon sensiblement différente. J’ai vu, pour ma part, une certaine portion de viral relié à la cause de la petite. J’ai reçu, en moins de 24 heures, deux avis de recherche concernant l’enfant et les personnes à contacter si jamais j’avais quelques qu’indices que ce soit. Bien entendu, les fameux « fowards » ont été relégués depuis longtemps au rang de pourriel. Cependant, dans une situation de la sorte, le message pourrait avoir un tout autre effet.
En communiquant avec les gens directement et dans leur « intimité média », peut-être serait-il possible de créer un « taux de conversion » entre l’écoute et l’action. Même si l’on ne parle que de réenvoyer le courriel, on parle à tout le moins d’une action posée en faveur de la famille Provencher.
Peut-on alors dire que toute la portion occupée, dans cette triste campagne, par les médias traditionnels est d’une grande pertinence pour l’aspect informatif et que les médias digitaux sont davantage employés pour initier l’action chez les récepteurs?
Et s’il était tenté d’employer autre chose que le viral (chaîne de courriels, fowards, etc.) avec l’aspect des médias digitaux? Et si une campagne média en bonne et due forme pouvait être amorcée en ligne? Selon vous, les chances de créer une réaction directe serait-elle plus grande? Est-ce qu’une telle campagne est déjà en ligne?
Les médias sont inondés de la photo de la petite. On tente rejoindre le plus grand nombre de personnes mais surtout de la façon la plus efficace possible.
Ma question porte précisément sur la pertinence du média employé dans cette histoire. Quel est, dans une situation de crise de la sorte, le média le plus efficace?
Nous parlons d’une communication visant à conscientiser le récepteur. Le but n’est pas seulement d’informer mais de sensibiliser. L’objectif est de faire en sorte que les gens deviennent plus alertes, qu’ils diffusent l’information, etc.
Gagne-t-on, dans le cas présent, à lancer un message de masse à la population par une campagne média mettant surtout de l’avant les journaux, la télévision et l’affichage? Est-ce la bonne façon que celle de faire un maximum de bruit ou alors faut-il également inciter les gens à réfléchir à la situation pour ensuite tenter d’y poser une action?
Les médias digitaux sont également employés ici mais d’une façon sensiblement différente. J’ai vu, pour ma part, une certaine portion de viral relié à la cause de la petite. J’ai reçu, en moins de 24 heures, deux avis de recherche concernant l’enfant et les personnes à contacter si jamais j’avais quelques qu’indices que ce soit. Bien entendu, les fameux « fowards » ont été relégués depuis longtemps au rang de pourriel. Cependant, dans une situation de la sorte, le message pourrait avoir un tout autre effet.
En communiquant avec les gens directement et dans leur « intimité média », peut-être serait-il possible de créer un « taux de conversion » entre l’écoute et l’action. Même si l’on ne parle que de réenvoyer le courriel, on parle à tout le moins d’une action posée en faveur de la famille Provencher.
Peut-on alors dire que toute la portion occupée, dans cette triste campagne, par les médias traditionnels est d’une grande pertinence pour l’aspect informatif et que les médias digitaux sont davantage employés pour initier l’action chez les récepteurs?
Et s’il était tenté d’employer autre chose que le viral (chaîne de courriels, fowards, etc.) avec l’aspect des médias digitaux? Et si une campagne média en bonne et due forme pouvait être amorcée en ligne? Selon vous, les chances de créer une réaction directe serait-elle plus grande? Est-ce qu’une telle campagne est déjà en ligne?
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