C'est avec passion et enthousiasme qu'Alain Giguère Président de CROP a introduit cette journée conférence infopresse. Suite à l'analyse d'un panel de plus de 2600 personnes au Canada (1100 au Québec), Alain a présenté les éléments qui définissent ces consommateurs élites et autres early adopters (consommateurs précoces) :
- ils cherchent la performance- ils accordent beaucoup d'importance à leur développement personnel
- ils sont fiers
- ils sont des influenceurs nés
- ils cultivent le prosumérisme.
- ils cherchent le plaisir dans la consommation
- le prix n'est pas un facteur si important dans leurs prises de décisions
- ils sont sensibles à l'éthique et ont le souci de l'environnement
- ils attendent des marques qu'elles leurs racontent une histoire
Les propos d'Alain Giguère semblaient être très liés avec l'approche du capital conversationnel développée par l'agence montréalaise Sid Lee. Il parlait de mythes, de rituels et de conversations entre la marque et les consommateurs.
Pour finir, Alain s'aventurait même à redéfinir les 4p :
- le produit devient du prosumérisme (prendre part, entretenir des conversations)
- le prix = une véritable valeur ajoutée
- la place = définitivement l'Internet
- la promo = le prosélytisme (brand evangelist, conversation avec la marque)
QU'EN PENSEZ-VOUS?
1 commentaire:
Le marketing évangeliste, non il n'y a aucun lien avec la religion.
C'est savoir développer un noyau fort de consommateurs qui vont défendrent les intérêts de la marque, propager l'information des nouveaux produits.
Dans sa quête d'information avant d'acheter, le consommateur va prioriser les conseils venant de gens qu'ils considère "experts" dans le domaine. En deuxième position on retrouve l'information sur le web et dans les blogs.
Voila un beau défi pour les marques. Comment élever des fans inconditionnels de la marque. Apple a réussi à le faire, il y a des cetaines de blogs pourtant sur les innovations d'Apple.
On retrouve des évangélistes qui sont engagés par les compagnies pour influecer le discours sur les blogs. Le web à modifié le rapport de force entre les consommateurs et les marques. L'individu a les outils pour faire le bon choix qui répond à ses besoins.
Voici quelques travaux que j'ai fait. Ils offrent quelques précisions sur les consommateurs évangélistes et le web 2.0
http://borisung.googlepages.com/BorisUng-essai1.pdf
http://borisung.googlepages.com/Es_2_B_UNG.pdf
http://www.webpronews.com/insiderreports/2005/05/11/the-power-of-customer-evangelist-marketing
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