Les consommateurs infidèles aux marques? Trop de choix ? Oui. On veut essayer des saveurs, expérimenter de nouvelles notions. Suite aux mauvaises expériences avec un produit, ce dernier ne nous convient plus. On évolue, tout comme le soin porté à notre santé, le soin accordé à nos besoins. Quand on trouve sa marque, on a un sentiment de satisfaction, on ne changera pas notre produit. Il est plus intelligent aussi le consommateur. Il est responsable de la famille, de sa santé, de ses besoins nutritionnels, de son niveau d'usage du produit, soit l’ensemble du bénéfice qu'il en retirera. Une occasion d'une durée limitée, "houlala". Les goûts, tendances, l'emballage.
La segmentation des marchés
Les réseaux de distributions.
Les réseaux de distribution comme par exemple une tablette de chocolat à 1$ au dépanneur et à 59 cents chez "Dollaroma" ainsi que la gomme Excel à 50 cents et à $1.10 à mon dépanneur du coin. On y fixe son prix, même produit. Mentionnons également la marque "Le Choix du Président" (President's Choice) qui n'est pas offerte chez Maxi. L'exclusivité d'un produit qui est moins fréquente, on le retrouve partout afin que le consommateur ne le remplace probablement par une autre marque (substitution à valeur égale/identique) . Des fois la substitution n'est pas pareille. C'est une question de goût et de choix. Créer de la valeur pour un produit est un travail aussi complexe que d'essayer de réduire les coûts de production.
Les "Pharmaprix" qui vendent des produits surgelés, les stations services à valeurs ajoutées sont développés pour répondre au besoin du consommateur qui va faire un coin de rue de plus pour aller à celui qui à le plus de commodités. Journal, des beignes et café etc. Le client est roi et maître, il faut le servir ! Vous voulez le faire dépenser, ayez un sourire soyez poli, gardez votre établissement propre, respectez vos spéciaux et promo.
Winners vend des vêtement de marques à prix d'aubaines. Pourquoi payer $30 de plus ailleurs ! C’est seulement une saison de retard, des restes de ce qui était “IN”. Ai-je dit une saison de retard…
La compétition est féroce, comme le disait le slogan de la Banque Royale (maintenant, RBC ; "Un client à la fois". C'est un méchant travail ça !
Home Dépôt et Costco vendent des électroménagers, WaltMart, Costco, des meubles, Maxi, Loblaws (même enseignes), des appareils de cuisine, Costco a son coin S.A.Q. avec une petite variété de vin, pour sauver un voyage ou juste pour arroser le rôti, c’est juste à côté de la viande rouge, London Drug dans l’ouest du pays qui n’est pas une pharmacie mais un genre de Canadian Tire, Staples, Stocks, Sears (désolé mais ça me fait penser à ça), des bicycles, de la bouffe, des oreillers, des plantes, de la vaisselles et section du type Bureau en Gros avec de la pepeterie, des ordis, des portables, des iPods, des appareils numériques, cinémas maison ! Un méchand mixte de magasins.
Aussi les concepts de magasins entrepôt, où l’on y mentionne qu’on sauve deux intermédiaires. Entrepôt de chaussures, l'entrepôt Le Château sur Pie-IX et Jean-Talon, l'entrepôt La Senza sur la 26e et Crémazie juste à côté de la Métropolitaine à St-Léonard. Les marchés au puces avec leur reproduction de marques. Sur Chabannel la grande vente trottoir aussi avec de la reproduction de vêtements. On en parle justement dans le livre "Brands-The new wealth creators." Les copies de montres, parfums, sacs Louis Vuitton, les faux sont presque impeccables, les vrais ont du cuirs sur le zipper, les médicaments (ex: subsitut de viagra, zantac pour l'ulcère, Selokeen pour les cardiaque, Adriamicin pour la leucémie, Fansidar pour la malaria) vendu sur Internet. Je vais faire un article sur la contre-façon bientôt.
Il y a des produits dont on ne connaît pas les possibilités. Il y a des dégustations, qui peuvent nous faire essayer un produit, une décision sur le champ. Des fois une enveloppe de sauce avec un goût outremer paraîtra appétissante, mais on cuisine ça comment? On doit donner des idées, des recettes, donc on utilisera les produits. Kraft par exemple, a beaucoup de produits, donne des recettes, a aussi son magazine distribué 4 fois par année, son émission télé...
Martha Stewart World, a son émission, son magazine, ses produits. Il y avait eu une émission télévisée sur sa vie, son empire. Méchant caractère. Aussi elle a son blog depuis quelque temps. Martha's Talks.
Les criminels aussi ont des produits à écouler, des réseaux de distribution, ont un service de paie, partage les profits avec les associés, font de l’importation et de l’exportation, que l’on ne calcule pas au produit national brut du pays ! Ils ont des plans d’expansion. Dans leur monde et celui où il y a des normes et bien le 4% n’est pas le même. Eux, quand l’employé ou l’associé ne fait plus l’affaire et bien un petit meeting tard dans les petites heures du matin en te disant “ Prend pas ça personnel, c’est juste la business qui veut ça!” Et vlan un poste ou une promotion de disponible.
Sérieusement, le positionnement du produit est de réussir à attirer l'attention des consommateurs, tout en se distinguant de la concurrence. Lui faire croire qu’il a besoin du produit ou de lui dire que c’est le temps de remplacer l’autre.
La multiplication des médias,
La radio, télé, chandails, site Internet, banderoles, véhicules publicitaire, buzz marketing, macarons, ballons, mongolfières, magazines, newsletter, cyberlettre, brochures, objet promotionnel, plaque d’imatriculation du concessionaire, sticker, lumière globo, avion avec écran de fumée, placement de produits dans les films...
Là on va vers la pub dans les jeux vidéos. On va bientôt aller dans une station spatiale. Imaginez le reste… serait-ce comme Gattaca ou I Robot ?
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