J'ai chez moi une petite boîte noire avec des chiffres dessus, donc de 0 à 9. Des touches dans le style flash, redial et mute. Un fil pour faire la liaison avec le mur. On est loin de Robert Hooke et de ses deux cornets liés par un fil de 1667. Voilà une belle invention. Surtout, quand il fait mauvais temps ou tout simplement pour dire deux ou trois mots. Certains sont capables d'y rester des heures. Chacun son trip. En tout cas, c'est un instrument très pratique pour entrer en communication avec le monde. Comme il faut s'y attendre, le contraire est aussi vrai. C'est à ce moment là que l'histoire commence à se gâter. Une entreprise, tout ce qu'il y a de plus banale compose mon numéro (peut-être trouvé dans le bottin téléphonique). Ça sonne, je décroche et une personne m'annonce que je peux avoir La Gazette (désolé, mais ça tombe sur vous... fallait pas m'appeler) directement devant ma porte grâce à un abonnement fort économique. Je ne suis pas intéressé alors merci bien mais au revoir. C'est une scène traditionnelle de notre quotidien et sans grand intérêt. Après une dizaine d'appels de leur part, j'ai comme l'impression qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. On est capable de lancer une bombe sur un insecte situé à l'autre bout du monde (si on suppose qu'il y a un début et une fin) juste en appuyant sur un petit bouton. Il faut plus de temps pour manger son repas que de le préparer grâce au micro-onde (faut juste pas chipoter sur la qualité). Après deux ou trois appels, normalement, les télémarketeurs de La Gazette devraient se dire que ce monsieur ne veut rien savoir de leur produit. Que je sache, ils doivent posséder un bon système informatique et noter quelque part à qui ils ont parlé, quand et surtout la réponse des personnes qu'ils sollicitent. Et si le système est en panne, le papier et les crayons ça existent. Ils ne sont pas analphabète à se point. Il faut le dire dans quelle langue pour que ça rentre ? Une fois devrait suffir. Deux fois et de facon espacée (très espacée) dans le temps, c'est compréhensible et en parfaite adéquation avec le principe de vente. Après ça devient de la stupidité de leur part. Faut croire qu'ils ont vraiment du temps à perdre...LE MOT DIT NORBERT : dring !
J'ai chez moi une petite boîte noire avec des chiffres dessus, donc de 0 à 9. Des touches dans le style flash, redial et mute. Un fil pour faire la liaison avec le mur. On est loin de Robert Hooke et de ses deux cornets liés par un fil de 1667. Voilà une belle invention. Surtout, quand il fait mauvais temps ou tout simplement pour dire deux ou trois mots. Certains sont capables d'y rester des heures. Chacun son trip. En tout cas, c'est un instrument très pratique pour entrer en communication avec le monde. Comme il faut s'y attendre, le contraire est aussi vrai. C'est à ce moment là que l'histoire commence à se gâter. Une entreprise, tout ce qu'il y a de plus banale compose mon numéro (peut-être trouvé dans le bottin téléphonique). Ça sonne, je décroche et une personne m'annonce que je peux avoir La Gazette (désolé, mais ça tombe sur vous... fallait pas m'appeler) directement devant ma porte grâce à un abonnement fort économique. Je ne suis pas intéressé alors merci bien mais au revoir. C'est une scène traditionnelle de notre quotidien et sans grand intérêt. Après une dizaine d'appels de leur part, j'ai comme l'impression qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. On est capable de lancer une bombe sur un insecte situé à l'autre bout du monde (si on suppose qu'il y a un début et une fin) juste en appuyant sur un petit bouton. Il faut plus de temps pour manger son repas que de le préparer grâce au micro-onde (faut juste pas chipoter sur la qualité). Après deux ou trois appels, normalement, les télémarketeurs de La Gazette devraient se dire que ce monsieur ne veut rien savoir de leur produit. Que je sache, ils doivent posséder un bon système informatique et noter quelque part à qui ils ont parlé, quand et surtout la réponse des personnes qu'ils sollicitent. Et si le système est en panne, le papier et les crayons ça existent. Ils ne sont pas analphabète à se point. Il faut le dire dans quelle langue pour que ça rentre ? Une fois devrait suffir. Deux fois et de facon espacée (très espacée) dans le temps, c'est compréhensible et en parfaite adéquation avec le principe de vente. Après ça devient de la stupidité de leur part. Faut croire qu'ils ont vraiment du temps à perdre...
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1 commentaire:
Les principes secrets du télémarketing :
- plusieurs fois tu répéteras pour que ton offre soit retenue,
- plusieurs impartiteurs tu paieras pour diminuer tes frais d'opérations,
- plusieurs bases de données tu achèteras au risque d'avoir des doublons voire plus de répétitions.
Le télémarketing "de vente" est basé sur la force du nombre (le plus grand nombre d'opportunités) et sur la répétition du message pour vendre, et ca marche...
il y a ceux qui sont tannés et qui s'abonne pour avoir la paix (erreur fatale),
il ya ceux qui aprés 3 fois s'auto-persuade de l'offre, et puis il y a ceux change de numéro, il y a ceux qui paie Bell pour que leur numéro ne soit pas divulguer (ca marche pas), il y a ceux qui prennent un cellulaire et qui coupe la ligne filaire (j en suis). Selon, l'association canadienne du marketing :" Le télémarketing et les courriels commerciaux ne sont pas abusifs par nature. Ce qui les rend inacceptables pour les consommateurs, attirant ainsi l’attention des gouvernements, des médias, des groupes de consommateurs et des défenseurs de la vie privée, est leur intrusion excessive dans la vie des consommateurs". ET VOUS, VOUS EN PENSEZ QUOI ?
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