- L’excuse (et j’insite sur le mot « excuse ») numéro un des créatifs : «On avait une superbe idée mais l’annonceur l’a trouvée trop flyée (vous pouvez remplacer flyé par : le produit n’était pas assez visible, on comprend pas ce que tu veux dire, ça ne correspond pas à notre entreprise etc…)».
- En excuse numéro deux, je peux vous parler du budget trop petit et du marché québécois qui est réduit.
Ça suffit les excuses à 2 sous. Il faut peut-être arrêter de toujours taper sur la tête des mêmes (même s’ils le méritent) et commencer à se cogner la tête. On est des créatifs ou non ? Notre tâche n’est-elle pas de trouver de bonnes idées malgré les contraintes ?
Pas toujours facile mais qui a dit que c’était un job facile ?
2 commentaires:
Merci de le rappeler, la publicité doit être créative
(le plus possible).
Noyés dans la masse (média), les consommateurs ne ressentent plus le besoin d'être surpris et ils deviennent tolérants,...LE DANGER.La résistance naturelle de l'homme est mise de coté.
Il arrive à l'industrie de la publicité de dire que c'est 'LE style' CANADIAN TIRE ou Brault et Martineau, mais qui choisi ce style l'agence, l'annonceur,est-ce que tous les clients sont éveillés pour comprendre autre chose que le grand journal ou les autres programme effectuant un lavage de cerveau plus blanc et tant mérité au regard de nos existences vides...je te pose la question, doit-on prendre le consommateur pour un con pour qu'il comprenne? Tu dis non et je pense que tu as raison mais il faut de tout pour faire un monde...
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