
Vu sur Saint Laurent ! (BOS - 29 avril 2005)
J'ai reçu ce courriel car je suis abonné à beaucoup de newsletters et celui-ci est celui de l'agence de placement AQUENT qui est un peu partout à travers le monde.
boul. Saint laurent

CHAPITRE 2
Prend le métro, arrive en retard au point de rendez-vous, attend Kim et go à la journée Branding du mardi 12 avril. Environ 9h05, on a juste loupé l'intro... rien de bien important.
La journée se termine avec une heure d'émotion et de réflexion avec Pascal Beucler (Carré Noir). Le titre de sa conférence est un parfait résumé de cette journée Branding : «Redonner à la marque son pouvoir inspirationnel». Avec Beucler, j'ai eu droit à un voyage des sens à travers du design polysensoriel. Tout les sens en éveil : vue, ouïe, odorat, tactile et goût. Pourquoi ai-je aussi dit réflexion ? Avec toute la tartine de citation que j'ai eu droit, il y a de quoi méditer : «Chacun a des oreilles, et elles n'ont pas de paupières», «On achète une voiture, on conduit une marque», «Ce ne sont pas des vêtements qu'on design mais des rêves». Le design au service de la marque et non du «beau» sans stratégie. Je préfère la notion d'esthétisme à celle de laid vs beau. Que se soit de la publicité ou du design (l'un ne va pas sans l'autre), on se doit d'être non aseptisé et permettre à chacun de vivre une expérience. Des grilles de calcul et des plan marketing, c'est un peu comme remplir sa déclaration d'impôt. Voilà une bonne idée : «Réinventer son univers visuel» (titre de la journée Grafika). 
Bon et bien je commence à être comme un ti vieux qui découpe ses coupons ou comme celui qui demande de rapporter ses restes de repas dans une boîte quand il va au restaurant!

- Chérie, ça fait cinq ans que tu coupes les cuisses du poulet avant de le mettre dans le plat. Pourquoi ?
Le symbole stylisé d'un inukshuk, d'une sculpture traditionnelle utilisée par le peuple Inuit du Canada comme repère géographique, a été choisi à titre de logo officiel des Jeux olympiques d'hiver de Vancouver, qui auront lieu en 2010.
Vous connaissez la blague de Toto qui est dans les toilettes ? Je ne peux pas vous la raconter, la porte est fermée. Infopresse en main... Page six... Lecture de la chronique de Jean-Jacques Stréliski... Le titre du moi d'avril : «Qu'est-ce qu'on se marre!». La majorité des publicités gagnantes des concours ou celles qui sont admirées du public, sont celles qui misent sur l'humour... et cela au niveau international. C'est clair que l'humour tient une place de choix dans notre société. - Note - Il paraît que 50% du travail est fait (si on peu appeler cela un travail) quand on fait rire une femme. - Fin de la note - Bon d'accord j'avoue, j'ai un petit faible pour la publicité qui me fait rire (mais pas que cela). Par contre l'humour niaiseux, dommage pour moi, c'est vraiment pas mon rayon. Je prend ce monsieur à la guitare, vous savez, celui de La Capitale. C'est drôle, n'est-ce pas ? Tu parles ! C'est juste un moron. À la rigueur, si à chaque pub dite drôle j'en suis à me rouler parterre, il n'y aurait vraiment pas de problème à exploité le thème jusqu'à épuissement des stocks. Voilà que l'humour, on me le sert à toute les sauces. Ce qui est pire là-dedans, c'est que cette sauce est souvent avariée. Un humour sans saveur c'est pire que d'être sérieux. J'imagine un party avec un voisin qui cherche à être drôle. C'est dans le garde robe avec du tape sur la bouche que je vais lui faire passer sans envie de me cracher dans l'oreille. Une chose qui est légèrement amusante devient vite ennuyante à la longue - Les blagues les plus courts sont les meilleurs - logique, puisque l'effet de surprise (entre autre) n'est plus là (Gain par exemple). La comparaison est souvent un bon moyen pour mettre en lumière bien des choses (comme le disait Confucius, hé oui, encore lui : «Une image vaut mille mots.») : aux Oscars, c'est pas franchement les films et acteurs humoristiques qui râflent les prix. De plus prés, on constate que les films exploitent plusieurs notions pour nous raconter une histoire : musique (très important chez moi. À quand la télé qu'on peut couper l'image sans couper le son ?), romantisme, lumière, effets visuels, cadrage, violence, suspense, humanisme, rire (évidemment), décors, dialogue, sexe etc... Tout cela pour transmettre une émotion. Mes 50% d'en haut, d'après vous ils sont où ? La drague c'est persuader ainsi que se distinguer, au même titre que la publicité.
Un philosophe chinois qui a vécut il y a 2500 ans. C'était aussi un ministre très écouté (de nos jours c'est beaucoup moins juste) et très contredit de son vivant. Je vous présente monsieur Confucius. On ne peut pas dire qu'il a mal vieilli (comme du bon vin... c'est avec l'âge que c'est meilleur). Le personnage n'est pas forcément connu (je ne l'ai jamais croisé dans les rues de Montréal), par contre ce qu'il avait pu dire (je n'étais pas présent pour savoir si c'est bien lui ou un de ses multiples disciples), c'est une autre histoire. En faisant un petit sondage autour de moi, sans l'ombre d'un doute, je pourrais affirmer que pratiquement tout le monde connait une de ses réflexions. C'est surtout une phrase très connu des publicitaires. Une phrase simple, au combien bien pratique : «Une image vaut mille mots». Oh que c'est jolie ! Je lis la phrase jusqu'à que se soit la phrase qui me lit et comme par magie, je constate un double sens. Hé oui ! Il faut toujours compliquer ce qui est simple. Le sens premier utilisé par le commun des mortels, je le résume ainsi : «Attends deux secondes, je vais te faire un croquis et tu vas mieux comprendre.». Rien de bien sorcier et de neuf. On passera sur le fait que cette même image vaut peut-être mille et un mots ou neuf cent quatre vingt dix neuf mots. Là dessus, on se comprend. Maintenant, je reprends la petite citation et je la tourne dans l'autre sens : un même image peut avoir plusieurs significations différentes. Je constate que c'est cette version qui est souvent négligée. Je ne sais pas si je vous apprend quelque chose mais il serait quand même bon de le dire (ou redire): la communication visuelle est une chose qui s'apprend au même titre qu'écrire. C'est un code, un langage avec ses particularités, ses régles. Le plus belle exemple est la signalisation routière. Le visuel n'a pas de verbe, de sujet, de complément d'objet direct, d'antithèse... c'est des couleurs, des formes, des lumières, des angles de vues, des montages. On commence par gribouiller sur du papier avant de savoir écrire et après... il suffit de regarder autour de soi.Une création d'AMEN-Epoxy
The Cheating Culture: Why More Americans Are Doing Wrong to Get Ahead
La liste des gens d'agences étant inscrits sur le site de ihaveanidea compte 19 personnes, ce sera un 3 pour 1 pour laisser la chance aux participants de montrer leurs idées. Cela donne un total de 57 personnes qui auront la chance de voir un "top" de la création, comme :
Toute une opportunité pour certain(e)s et si les billets se vendent bien, il y aura possibilité d'ajouter d'autres noms. Les billets partent graduellement depuis lundi jour officiel du lancement des ventes.

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